La Bretagne est l’un des rares pays ou les instruments de percussion sont historiquement absents, si l’on excepte l’intégration, parfois, d’un tambour « de clique », au couple biniou-bombarde. Après une tentative, plutôt infructueuse, d’adoption du « bodhran » irlandais dans les années 70, une nouvelle voie s’ouvre avec les percussions du Maghreb ou du Moyen-Orient, dont les possibilités semblent pouvoir se plier aux subtilités rythmiques de la musique bretonne.